4 mars 2012

A nos chuuuuts...



Lumière qui traverse les stores, nuit sèche dehors
Ce sera une nuit d’été comme celles dont on parlait

Hiver encore une saison portée,
Mais que nos deux corps ont rejeté.
Rebelles d’un moment, peu importe la durée.
C’est un divan qui nous aura fait voler
Au-dessus des blancs d’esprits
Piments d’Espelette, jamais rien d’acquis.
Ils n’ont d’or que ce qui n’est à autrui.

Envieux de nous, de nos deux âmes nues
Pas de silence à nos émotions charnues

C’est terrible comme j’ai oublié la couleur du temps.
Elle a disparu dans ton cercle restreint.

De toi à moi, c’est une fierté.
Non engagée, juste un fait.
Peut-être faux, peut-être vrai.

Pronostic avéré, tendresse désirée
J’en appelle à ceux qui fument
Les sentiments les plus acérés
D’arrêter au patch de l’amour
Ou même d’une simple liberté

Divine odeur, nature humaine
Une traine de douceur…

Et toi et moi et nous…

Et Cetera…


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Très joliment écrit,
un de mes favoris.

Ten a dit…

Salut lecteur Anonyme! Merci pr ton commentaire ;). Ten