PART TOU : Mon (mes) mec(s).

Et oui, bah oui. Je suis humaine avant tout et loin d'être virtuelle. Seul tout ça va bien un moment ^^'

"Ne me dis pas que tu m'aimes déjà.
Ne me dis pas déjà que tu penses tous les soirs à moi avant de te coucher.
Ne me dis surtout pas que je te manque avant d'avoir créer ce sentiment.
Ne me demande pas déjà si mes pensées sont tournées vers toi,
ni même si un bout de toi ou de ta présence me manque.

N'anticipe pas ce que je ne pourrai surement jamais ressentir pour toi.
Ne me confies pas quels sont tes torts, tes raisons, tes angoisses, tes mauvais souvenirs.
Ne m'expose pas tes plus grosses peines et colères parce que je t'inspire confiance.
Ne m'inonde pas de tous ses principes que tu t'es crée pour moi ou pour la coutume alors qu'il ne te ressemble pas.

Ne te soumets pas encore à la règle du respect et de la dignité comme pour déclarer qu'il est tant entre nous d'officialiser.

Ne m'annonce pas encore que je corresponds sans retouche, à celle qui sera "ta vie".
Quel lourd fardeau m'aurais-tu légué !!!

Chaque jour n'est pas celui qui suit.
La fuite n'est pas loin. Et je suis rapide et sans remord au départ.

J'aimerai que tu oublies un instant ce que nous sommes, pour ce que nous ne serions pas.

Les règles de prudences ne sont pas mes règles de bienséance.
Apprends moi à te désirer et non à me soumettre à ton désir !
Ne m'effraies pas en me faisant ressentir que je t'aimerai à l'usure...
Ne me laisse pas m'étouffer sous le poids de ton sérieux tant démesuré.
Dis moi juste avec humour de tout ton sérieux que tu seras juste là pour moi, en ce moment.

Je ne peux pas être moins sincère et entière que je ne le suis. Pardonnes moi.

Il est trop tôt mon ange, trop tôt encore pour moi de déjà t'aimer..."

Janet Jackson - Let's wait a while

PART OUWEN : My friieenndss !

Je lis en ce moment (oui oui je sais lire) Frida Kahlo : lettres 1922-1954. C'est surement le format atypique qui m'a attiré.

Et j'ai soudain repensé à cette époque où on s'envoyait des lettres entres famille, amis. De ces moments où on attendait de recevoir la lettre parfumée ou signé d'un amoureux divers. Cette lettre qu'on tentait de cacher pour que les proches ne soient pas au courant... 

Je trouve que cette époque nous manque terriblement : le temps que la lettre soit reçue, lue, il se passait parfois une semaine voire 2 ou 3 et parfois moins aussi. Le mal en patience avait son charme et créait tout de même une sacrée excitation dans l'attente. On s'accrochait à ses lettres, ces enveloppes pleines. Plus elles étaient lourdes, plus elles en disaient et plus on s'en réjouissait.
C'est qu'elles avaient de la valeur ces lettres !

Ce charme de la découverte, et du "Prenons le temps de nous connaître, de vivre etc" s'est tout de même bien perdu avec : les e-mails, les portables (ne parlons même pas des forfaits illimités que limite je maudits vraiment), les sms, msn, etc etc etc...
Certains même ne prennent plus le temps de répondre parce que le message n'a même plus de valeur! Insupportable !
Et parfois, ça en devient limite irrespirable !

Ce qu'on vivait en un an à un époque on le vit tout en accéléré avec ces systèmes de communication.

1 an d'avant = 3 mois actuellement 
en terme de durée de relation humaine 
(par contre, pas de règle de produit en croix, hein...)

Bon, je ne crache pas sur l'évolution, loin de là. Mais je trouve que certaines techniques de communication ont bien perverti les relations entre les personnes. 

Donc, je repense à me remettre à écrire quelques lettres ici et là, bien personnalisées, que je prendrai plaisir à écrire à la main et que je posterai en me disant "pour une fois que ce n'est pas un chèque que je poste, ce sera une joie !" avec un VRAI sourire !!

Oui oui je suis "trop rétro" sûrement mais j'aime ça !

Et puis l'automne arrive, la nostalgie des bon instants se ballade entre deux vents...

Je pense que c'est le moment...

 
Nat King Cole - The autumn leaves

Frida

Au lycée, je me souviens d'un portrait affiché sur un mur de classe, d'une femme au faciès espagnol, avec ce mono-sourcil et cet air de grand caractère, les cheveux noirs relevés, que je trouvais honnêtement laide...

Et puis quelques années ont passé et je découvre cette artiste aux facettes multiples à travers un film, ce film : 

Frida

 

Frida, the film - Trailer (2002) 

Avec Salma Hayek dans le rôle de l'artiste, rôle très prisée par les actrices espagnoles de l'époque 

2006 a été pour moi une année de découvertes particulières avec ses souvenirs flottants.
Frida Kahlo en fait partie.
Une artiste décalée, avant-gardiste et a-conventionnelle de l'ère du Noir&Blanc et même du début couleur, un peu comme celle de "l'autre", dont la voix m'habite...
Peintre-artiste (puisqu'elle a aussi écrit) des années 30 et 40, elle crée la nouveauté, l'originalité et beaucoup de polémiques sur sa vie privée.
J'ai recherché dernièrement mon CD de la B.O. qui reflète complètement l'âme du film et de l'artiste.
Une âme trop profonde et qui me parle bien-sûr, complètement.
Elliot Goldenthal, (Alien 3, Final Fantasy, Public Enemies et d'autres),
obtiendra son 1er oscar avec cette bande originale.

Bon je ne vais pas faire la biographie de la peintre ni même du film.
C'est très particulier. Mais j'ai, je ne sais pas, cette fierté de l'avoir vu. C'est le genre de film, dont vous ressortez un peu..."retourné" sur le moment...

Peut-être une de ces histoire dites "bouleversantes"...C'est parfois noir, parfois réel, parfois mélancolique, parfois angoissant, parfois passionnant...
Je ne suis pas cinéphile mais entre sa notion de la loyauté et de l'amour, son mode de vie, la façon dont les scènes sont tournées etc... Il FAUT le voir! VRAIMENT !
Et la soundtrack est pour moi énorme.
Je l'ai ressorti ces derniers jours... il était impossible pour moi de ne pas en parler.

Lila Downs - Benediction And Dream by Tenw

Frida Kahlo - su vida

Voilà, sinon je dirai "Lancez-vous!"

Quantique amoureuse…

Un atome est un élément chimique neutre. Il est composé d’électrons (charges négatives), de protons (charges positives) et de neutrons (charges bah… neutres).
Je ne vais pas te faire apprendre le tableau des éléments périodiques de Mendeleïev, surtout que d’autres éléments sont apparus cette année (et oui la chimie c’est tout les jours !)

En faite, je souhaitais consacrer cette première partie à la substitution nucléophile.
Loi n°1 : le plus attire le moins
Bon, tu sais c’est comme tout, tout ce qui sera chargé (avec un plus ou un moins) ne sera pas stable. Comme deux aimants de même signe s’opposeront. En gros, il cherchera toujours à avoir une charge nulle, comme les être humains, un couple.

+ et - = neutre

Un exemple : le fluor (F-), est l’élément le plus électronégatif qui existe, c’est-à-dire qu’il ira se fixer partout où la charge positive sera exacerbée. Il y aussi le chlore, le brome, l’iode…
Je te parle du fluor parce qu’il ravage tout sur son passage. Mais la molécule sera souvent soumis à l’élément du chlore ( Cl-) (eau de Javel ou l’acide chlorhydrique par exemple)

 Je vais être plus concrète. L’acide éthanoïque, plus vulgairement le vinaigre, possède deux liaisons carbone(+)-oxygène(-).

Les liaisons sont relativement stables mais leur force attraction est d’autant plus forte qu’ils se mettent en valeur mutuellement. Comme une femme avec un homme, elle se révèle.
Seulement, si le chlore (-) se trouve dans les parages, il s’attaquera très rapidement au carbone et n’en fera qu’une bouchée !

Le carbone se retrouve à gérer 3 liaisons, pas stables du tout de surcroit, et cherchera bien évidemment à se stabiliser. Et il se stabilisera avec l’élément qui donnera naissance à la liaison la plus forte, l’élément qui exacerbera sa charge positive…Donc le chlore.
Je ne fais pas le détail de la réaction. L’oxygène se consolera avec en eau…
Conclusion : la liaison carbone(+)-oxygène(-) est stable en général. Heureusement, sinon le vinaigre ou le jus de citron ou même la vitamine C n’existeraient pas. Mais, la concurrence est rude.

Alors imagine, t'es avec ton chéri, toi l'oxygène et lui le carbone. Mets toi en situation comme si vous étiez mis en présence d'éléments comme le brome, le chlore etc... En gros ton couple stable, sur l’Ile de la tentation…  En présence de personnes très attirantes ou l’inverse, la liaison peut-être remise en jeu, et même faire défaut.

Je pense que la prochaine fois, je te parlerai d’électron libre… alors que ça n’existe (presque) pas dans la chimie !

My blues: NOT word, just feel

Billie Holiday & Louis Armstrong - Farewell To Storyville

Feeling the way you sing and watching the way you move, I know You will still sing for me for a long long time...

L'expression d'un corps rassasié...

Il n’y a rien de plus fort qu’un corps en émoi.

La volupté des formes, le charnel de la gestuelle, l’insistance du regard…

Elle est elle-même mais ne sait pas pourquoi elle provoque autant d’attention et d’agitation du regard des hommes.

Ils la disent érogène, sensuelle. Mais elle se sent mal à l’aise en présence de ceux qui décrivent ce qu’il y a de plus sexuel en elle.

Elle ne tient pas au contact mais elle perçoit autour d’elle tout un tas de parfums d’hormones qu’elle laisse, malgré elle, être respirés par ces hommes, parfois trop sans gène, et à eux d'être torturés inconsciemment  par leur cinq sens.

Rien d’animal juste du naturel.

Elle le sait et pourtant elle niera à vie reconnaître comprendre « la demande » sous-entendue de ceux qui la désirent.

Elle préfère baisser le regard plutôt que se laisser piéger à lire ce qu’il y a de plus torride dans leur pensée. Elle ne veut pas savoir et l’ignorance à ce sujet reste de mise.

Elle s’interroge tout de même : ses courbes, son regard, ses gestes, sa démarche, ses lèvres, ses hanches, ses seins, sa peau…

Sur ses gardes, elle est consciente que même un effleurement peut être fatal…pour elle.

C’est intime mais le dégoût est net.

Elle exècre ceux qui lui parlent de désir et d’envie. Elle rejette ceux qui lui injectent dans le cerveau des plaisirs égoïstes.

Elle n’a parfois pas envie d’assumer cette »putain » de femme en elle. Elle préférerait se confondre encore à cette petite douceur, tendre et moelleuse.

Ce charme du petit geste mignon lui manque. Elle aimerait un homme qui n’admire pas ce qu’elle transpire de plus sexuel mais ce qu’elle émet de plus émotionnel. 

Pas de charme, pas d’amour. Sans amour, pas d’envie. Pas d’envie…

"Vise mon coeur, et jette le reste à la poubelle"

Un ramadan 2010 assez particulier...

Nous sommes le 11 aout 2010. C'est le 1er du mois de Ramadan du calendrier Hégirien.
En France, le temps nous épargne mais dans la plupart des pays musulmans, la chaleur est au rendez-vous. On ne pourra pas dire que ces braves croyants n'aient pas été éprouvés.
INCHALLAH leur jeûne soit accepté !
Pour certains Ce sera un mois entier d'auto-rétrospective, l'occasion de se recueillir auprès de Dieu et de partager avec ses proches.
Et pour d'autres, ce ne sera qu'une simple privation physique.
Les débats seraient longs mais chacun voit midi à sa porte.

Nous somme aujourd'hui le 10 septembre, c'est la fin du mois du Ramadan et le 1er du jour Chawwal.

C'est L'Aïd el Fitr . 

UN BILAN ?

L'acquisition du jour....

Y'a des acquisitions comme ça, on se sent obligé d'en parler. C'est comme ça...

AQUEMINI d'Outkast

Pourquoi ?

Pour ça déjà :

OutKast - Liberation feat. Cee-lo, Erykah Badu

(La boucle du piano, Andre 3000 au début, Cee-lo et sa voix et Badu au top là ! et je kif les lyrics, j'aime j'aime cette track tellement....)

Un titre qui tourne maintenant en boucle... Bon, il faut savoir qu'à la base j'aime bien Outkast certes, mais pas au point de fumer une track ni même de me pencher sur la disco (étant bien-sûr beaucoup moins rap que Soul...et oui on ne se refait pas..) Vu et entendu Cee-lo et Badu dessus, c'était inévitable. Du coup, l'album y est passé et l'écoute se fait de façon (très) massive. 

C'est le genre d'album sur lequel on se sent un peu con d'être passé à côté (Assumons assumons...). Et oui l'album est sorti en '98. En même temps, je me demande si ça m'aurait autant parlé si je l'avais écouté à l'époque. Et c'est rare pour moi d'accrocher à un album "hip hop"---> Rap de cette façon. L'achat était IN-CON-TOUR-NABLE !

Je me sens être qu'au début d'écoute pourtant... j'y reviens naturellement et j'en suis indécollable. 

Anyway, It's the beginning...

"mm there's....There's fine line between love and hate, you see ..."

Allez je me la fais à la Illuminati (c'est la mode...cliquez sur le titre)

Marrant ce qu'on peut avoir simplement en tapant en mot clés " faire l'autruche".
Je remercierai l'auteur du blog plutard. Pour l'heure, voilà de quoi on s'inquiète et voilà ce qu'on peut intérpréter de ce qu'on ne connait pas.

AMES SENSIBLES : 

n'oubliez pas que l'ignorance ne mérite que le mépris.

Mais la réalité est là, je ne place ces images qu'à titre d'information.

cliquez ici ! vous vous ferez votre propre avis !!!

c'est assez dingue tout de même !!!!!!!!!!
Fuck It !

Ma réalité n’est pas forcement celle de l’autre…

Roh, faut que je te parle d’un truc.
Dernièrement j’ai rencontré ce sentiment là…Tu sais celui qui donne la sensation du mensonge…Non pas l’égoïsme.
Bon il est très caractéristique de l’homme, je ne te le cache pas. T’as l’impression qu’ils le vivent comme si ils l’avaient toujours été… Non non c’n’est pas la méchanceté.
Ca représente bien les gens qui paraissent toujours plus ou moins ailleurs. Tu ne sais jamais vraiment ce qu’ils font ou ce qu’ils pensent même. Non je ne te parle pas de la trahison.
Bon sang !
Comment ai-je pu oublier son nom ?!
Pourtant c’est quelque chose d’ultra commun, c’est limite choquant de ne pas en trouver chez quelqu’un à notre époque. Enfin, en tout cas, ça correspond bien à notre temps ce truc dont je te parle.
Aide-moi parce que franchement, je l’ai sur le bout de la langue et pourtant, impossible de te le dire !
Ah oui, alors attends je te donne un exemple concret, j’suis sûre ça va te parler !
Tu sais quand les personnes fuient la réalité, ou n’osent pas affronter les faits ou se cherchent de belles fausses excuses bien toilettées.
Mais siiii ! tu sais quand un homme se sent incapable de te dire les choses en te sortant « mais je ne voulais pas te blesser ! ». Tu connais cette scène, où il se met à courir dans tous les sens cherchant un trou où se terrer (aaah il fallait que je la place). Limite t’as envie d'lui balancer « fais pas l’autruche làà! »

Et celui aussi des copines ou des potes, qui ne veulent pas affronter avec toi tes problèmes… tu comprends, trop de souffrance à partager, en te disant qu’elle/il souffre déjà trop fort leur martyr avec leur « gros » problème (à chacun sa notion de gravité, n’est-ce point…)
Ou les amis aussi qui t’évitent pour ne pas faire face à des difficultés entre toi et il/ell par exemple.
Je suis sûre que tu vois de quoi je parle. Mais non ! j’te dis que c’n’est pas le mensonge lààà !
C’n’est pas non plus la débilité (quoique parfois, on en n’est pas loin…)
Je suis à court d’idée là pour te décrire la chose…
Jalousie… mais t’es complètement à coté de la plaque !

Ne me dis pas que tu ne sais pas de quoi je parle là!!!

"Pas de concession dans mon assiette !"

A l'heure de "l'apéro saucisson et pinaaard"....

Juste pour le Fun (et puis ça fait tellement longtemps...)! 

Une dernière fois...

« Si seulement, tu avais pris ce temps et cette joie de me connaître, tu verrais combien nous aurions pu être heureux.

Je ne vivrai pas sur les regrets et tu ne vivrais pas avec cette fausse idée de moi.

Au plus naturel nous aurions été, sans rien se cacher. Tu aurais su à quel point il est dur pour moi d’aimer. Et j’aurai vu quelle dimension réelle tu m’aurais donné.

Il ne faut pas vivre sur les regrets ?

Et si pour une fois, j’ai envie d’en avoir. Si pour une fois, je refaisais mon monde avec des « si », juste pour voir. Et croire l’espace d’un moment qu’on aurait surement pu le connaître ce bonheur.

Oui, j’ai envie de le dire, si tu avais cru en moi comme moi en toi, pourquoi ne serions-nous pas ensemble aujourd’hui ?

Les tengantes de l’amour frisent les paraboles de la folie. Et c’est ce qui rend ce sentiment fort, exaltant et si désiré.

Laisse-moi encore dire, que toi et moi sommes passés près d’une belle histoire, peut-être même d’une longue et magnifique histoire pleine de rebonds et d’espoir, de heurts, de jalousie, d’amour, de compassion, de tendresse.

 

Otis Redding- I've got dreams to remember

Et si on ne s’était pas connu au bon moment ? Peut-être était-ce trop tôt ? Peut-être trop tard ?

Peut-être sommes-nous maudit de ne pouvoir un jour nous unir dans la sérénité…

Mais avant de penser à cette stupide fatalité, laisse-moi encore rêver d’amour avec toi, de rire, de tes bras, de ton parfum, de ta mauvaise humeur, de tes chagrins… Laisse moi juste croire le temps de quelques secondes, que j’aurai été là pour te consoler, te comprendre, te soutenir, te séduire encore, t’intriguer, inonder ton sang et tes pensées des plus fortes émotions que tu m’aurais laissé te léguer.

Je suis mélancolique de t’aimer encore.

Deux droites parallèles sont deux droites qui par définition ne se croiseront jamais.

C’est ce que nous représentons chacun et jamais notre union alors ne sera béni.

Je sais que tu m’aimes encore et que le destin ne dessert plus notre cause et que tu as abandonné l’effort de croire en moi, et même en nous.

Aujourd’hui, je ne te demanderai pas de me laisser croire en quelqu’un d’autre car je braverai ton désaccord pour connaître meilleur amour. En laissant avec toi tous les regrets et remords qui restent si fidèles à nous.

Notre « Nous » sera dissout et j’en extrairai un nouveau de plus différent.

Pardonnes moi de ne pas penser au tien. Il ne m’importe plus de te savoir heureux.

A présent je vois de Nous, ce cœur déchiré aux trois artères les plus importantes. Et le flux du sang ne cesse d’augmenter et mon âme me suppliant ainsi d’arrêter cette boule hémorragique.

Ma vie ne s’arrête pas à toi alors je te laisse ce cœur en sang pour en chercher un autre comme un autre recherche le mien.

Tu ne m’as offert que ce peu de temps pour rêver de toi et je m’en suis contentée.

Alors que sans rien demandé, je vis un rêve avec un autre aujourd’hui.

Pardonnes moi de ne pas te souhaiter la même chose.

Au fond, si tu ne m’as jamais vraiment connu, m’es-tu vraiment une perte ou un regret ? »