12 oct. 2010

Take a mirror, look into it and tell me who do you see in it...

"L'usage diffamatoire de la dévalorisation, de l'humiliation,
du dénigrement par l'entretien de la polémique systématique,
se posant en martyr pour sortir indemne et victorieux"
 
On a peine à croire parfois que certaines personnes ne savent faire que du mal pour exister et pourtant..
On pense être éloignés des gens malsains et foncièrement mauvais alors que parfois ils/elles vivent juste à nos côtés. Et ouai on a tous rencontré un jour dans notre vie quelqu'une/un qui a vous a retourné le cerveau...
Personnellement, mon sentiment à ce sujet va au-delà de la révolte.
J'étais loin de penser que ce genre de cas était traité ou existait en psychologie.
L'option "ne lis parce que je me sens trop concerné" existe ... A bon entendeur

"Portrait du bourreau : (le pervers narcissique)
Il peut parfois même être charmant au premier abord. Puis son ton se fait monocorde, son discours condescendant, son air supérieur. Ses armes favorites : isoler, disqualifier, refuser la communication, brimer. Inutile de le(a) raisonner.
Il n'éprouve pas de culpabilité (devant la loi il peut faire semblant). Son talent : taper là où ça fait mal et se faire passer lui-même pour victime de la prétendue incompétence ou malveillance de son bouc émissaire.
Lorsque la cible décide de se soustraire à ses assauts, il peut faire preuve de gentillesse (pour la ramener dans ses filets), sinon il se cherche une autre proie.

Portrait de la " victime "
Douée, consciencieuse, avenante, donne le meilleur d'elle-même. Des qualités que le pervers convoite. Vive et extravertie, qui exprime ses réussites et ses bonheurs. Généreuse, elle ne peut se résoudre à la perversité et il n'est pas rare qu'elle cherche des excuses à son bourreau.
Ce qui accroît sa vulnérabilité, c'est son sens des responsabilités et sa propension à se culpabiliser… elle admet trop facilement la critique et se tue à donner satisfaction."

"Les pervers narcissiques sont considérés comme des psychotiques sans symptômes, qui trouvent leur équilibre en déchargeant sur un autre la douleur qu'ils ne ressentent pas et les contradictions internes qu'ils refusent de percevoir. Ils «ne font pas exprès» de faire mal, ils font mal parce qu'ils ne savent pas faire autrement pour exister. Ils ont eux-mêmes été blessés dans leur enfance et essaient de se maintenir ainsi en vie. Ce transfert de douleur leur permet de se valoriser aux dépens d'autrui. "

LE PERVERS NARCISSIQUE (cliquer dessus)

J'ajouterai aussi un gros problème de complexe d'infériorité et que c'est plus fréquent qu'on ne le croit. 
J'écrirai peut-être un truc dessus...
Une précision tout de même : un peu d'égoïsme, c'est pas mauvais. Mais là ce n'est clairement pas de l'égoïsme et encore moins une branche du type "extrême de l'égoïsme".  

EST-CE QUE ÇA PARLE A QUELQU'UN ?

2 commentaires:

Anonyme a dit…

lol, mort de rire, ça me parle trop, j'ai cru lire les reproches que me faisait une étudiante que j'ai connu à Paris 12, une fille qu'on a connu tous les deux. par contre là où je ne suis pas forcément d'accord, c'est que la blessure ne surgit pas forcément dans l'enfance, elle peut surgir plus tard. et autre chose je pense aussi que certains peuvent être pervers narcissique pendant une période de leur vie, car c'est plus facile de se protéger en se comportant ainsi... Gomènassaï

Ten a dit…

le principal que t'en sois conscient !! mouhahaha !!
bon allez biz