C’est le jour du départ et je suis morte, K.O., en mode « off », dead…
Comme je disais donc, j’ai un problème avec mon billet qui m’oblige à réserver un autre vol retour vers 2h du mat’ (ça me passe en travers la gorge, croyez moi !) sur une autre compagnie ! Je m’en serai encore bien passée mais à partir du moment où j’arrivais à l’heure à Paris, ça me convenait !
Au moment même où j’écris ce Diary, je suis à l’aéroport JFK (très simple d'accès depuis l'auberge). Il y a du retard sur le vol. Et il y a quelques minutes, j’ai bien cru que je manquais mon vol. Je suis assise au sol avec mon PC et je vois quelques personnes devant le comptoir d’embarquement. Mon cœur s’est emballé et je me suis mise à courir vers le comptoir l’ordi à la main, le sac ouvert …. Bref, grosse frayeur puisqu’on m’indique que l’heure d’embarquement est toujours la même, soit encore 40 minute d’attente (il était 18h30 heure locale).
Pour en revenir à ma journée, Louis Armstrong m’attendait depuis la veille donc je me préparais rapidement pour être au musée à l’heure.
Et cette fois-ci je descends à la station la plus proche ! No Way to accross the same avenue !!
C’est 8€ à la base mais le mec à l’accueil est bien cool et me fait passer pour étudiante. Bien cool le m’sieur !!
La visite personnalisée (puisque je suis la seule) se fait par un guide passionné. Et cette visite me fait l’effet d’un déclic dans ma tête pour Billie Holiday. La fin aurait-elle sonnée ?
La visite du musée est terminée et puis je ne tiens pas à en dire plus dessus. Il faut visiter cette maison et son musée un peu plus loin dans le Queens. Et d'ici deux ans, un musée juste en face de la maison sera construit. Je retrouverai sans hésiter le sourire mythique de Louis. Malheureusement, les photos à l'intérieur de la maison sont interdites.
Je repars vers Brooklyn et j'en profite pour prendre quelques photos de Grafittis (d'ailleurs j'ai aussi raté le musée...) sur Nostrand Avenue.
Pour ce qui est du reste de ma journée, vous la connaissez déjà.
Bon, le voyage va bien durer une journée. Je suis restée deux semaines à New York et j’ai l’impression d’avoir tout manquer.
Et je compte faire un Day fiftine sur mon escale de merde en Irlande, toutes mes impressions et autres.
Parce que New-York le vaut bien et que cette ville je l’aime, plus que toutes les autres que j’ai pu visiter….
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