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18 nov. 2016

Dans "l'anorme"

            J'ai tellement d'idées en ce moment de textes. Ce n'est clairement pas l'inspiration qui manque.
Mais voilà, j'ai un boulet (mon bébé d'amour) qui me laisse un peu sur les rotules le soir.
Ma journée commence vers 7h30 et se termine à 21h généralement, l'heure à laquelle je la couche.
Et une chose en amenant une autre, je me suis rendue compte que ces derniers temps j'étais confrontée à pas mal de propos/préjugés sur l'emploi du temps d'une mère ou le choix d'être mère au foyer (expression désuète d'ailleurs).

Et j'étais assez surprise d'entendre qu'être maman finalement :
- ça te laisse du temps pour faire ce que tu veux,
- "qu'il suffit de s'organiser" pour avoir du temps à soi,
- de "donner sa soirée à son mari parce que lui il travaille DEHORS et que du coup c'est pas pareil que toi, qui reste toute la journée dans la maison".
- "Si elle dort ta fille, va faire tes courses et laisse-là à la maison !", un client dans le magasin
- "il faut qu'elle fasse attention avec ses bijoux", la vendeuse en boutique
Je précise au passage que ma fille a 20 mois (1 an et 8 mois quoi)

La réalité c'est qu'il y a des gens complètement deconnectés, capable de te sortir des absurdités aussi grosses que leur cul (excusez du peu, je suis désolée).
Et là t'espères que les gens se rendent compte de ce qu'ils sont entrain de débiter. 
Tu te rends compte que toi aussi, t'as fait parti de ces gens et tu sens bien con. Mais bon.

La réalité c'est qu'il n'y a pas une seule façon d'être mère mais bien autant de façon que de mère sur cette Terre.
Et oui, c'est ainsi et il faut l'accepter.
Si ce n'est pas de cette manière que tu conçois la maternité, Ok c'est ton point de vue et il n'y a aucun problème pour que tu aies ta propre vision.

En revanche, ce qui me dérange c'est d'entendre tout un tas de conseils qui finalement ne prennent en compte le cadre dans lequel l'enfant/la famille grandit/se forme, bref, vit tout simplement.

Et là t'as de tout dans les "conseillers/ères" :
- les féministes qui sont sensées tout de même défendre les droits de choisir des femmes,
- les mères d'une génération d'un autre siècle pour qui ton enfant est comme le sien,
- les bac+5, bac-5,
- les hommes qui n'ont pas d'enfants très virulents, "les ultras sans expérience"
- les hommes qui ont des enfants, "les modèles pseudo modèles"
- les psychologues, qui s'improvisent psychologues
- les pessimistes,
- les distants
- les parents-poules
- les parents qui ont oublié par quoi ils sont passés
Etc... non sérieusement et cetera parce que la liste est longue.

T'as l'impression que l'expérience qu'ils ont (ou pas) font d'eux des experts. Et si effectivement, ils n'ont pas d'expérience, t'as droit à un show de tout et n'importe quoi.
Je ne vais rien citer, parce que j'en ai entendu des perles.
Mais alors qu'est-ce que ça use, ça m'use d'entendre.
Au début, je justifiais ou j'expliquais. Et aujourd'hui, j'entends et.... puis j'efface.

Comment je fonctionne ? C'est simple : mes convictions/principes : je teste et si ça fonctionne je développe et si ça ne fonctionne pas, je recommence différemment encore une ou deux même dans différentes conditions (moi en mode "scientifique"). Et si ça ne fonctionne toujours pas, alors c'est que le mode ne lui convient pas. Parce que je pense que chaque enfant est différent. Il n'existe pas de livre de loi à ce sujet, il faut arrêter avec ses pseudos lois qui n'existent pas aussi.
Si en tant que parent tu veux t'aider de références bibliographiques, pourquoi pas, essayes et vois ce que ça donne.
Ou si tu veux comme tu le sens, lance toi aussi !
Ou si tu veux faire comme tes parents, fais le ! Qu'est-ce qui te fait hésiter ? Teste et vois ce que ça donne.

Et c'est tout ! Bordel !  

Et de toute façon, depuis quand je suis les règles ...?
Par contre, une chose est sûre, on ne sait pas quel parent nous pouvons être avant d'avoir notre propre enfant.


Voilà, fallait que ça sorte.

31 déc. 2012

Sacrifice du mouton dans la baignoire


J'aime sous-entendre que je suis le mouton noir dont personne ne voudra, et qui finalement aura sa gloire lorsqu'il verra le troupeau blanc moutons s'amasser à la pointe d'un rocher sans l'avoir anticipé pendant qu'il se diront "il avait raison" (Laissez moi rêver). Le mouton le plus rapide n'est pas noir, il est blanc. Et ce sera le premier à se jeter dans le vent. Et pourtant il aura tout planifié auparavant sauf la chute, évidemment, trop loin de se douter que tout cela pourrait lui arriver.
"Si tous les moutons blanc suivent la même direction, se dit-il, c'est que ce doit être la bonne direction. Et si je suis le 1er, je sors gagnant
Ouai... Et bien je pense qu'on ira très loin avec ce genre de leitmotiv primaire. 
Pardon, mais je trouve ça tellement basique, presque esprit simple. 
Bordel ce que ma vie serait chiante si ça s'arrêtait à là... 
Je tords le cou aux idées reçues mais aussi aux bergers et à leurs cerbères, qui guident leur troupeau d'une manière loin d'être prophétique, au contraire. 
Maître de tout et maître de rien à la fois, je souris souvent les gens voir un rien matériel les combler. 
Vous me trouvez hautaine ? 
Alors pensez à vos réactions quand vous pensez avoir mieux réussi votre vie que les autres. 
C'est lamentable de croiser ces gens coincés dans leurs références, assez vides et superficiels finalement, un genre " Grande gueule, Je détiens la vérité. Toi tu ne sais rien." Ces gens qui se lèchent l'oreille et qui s'auto-déclarent Dieu parce qu'ils ont trouvé comment bien sucer le boss ou les pigeons. 
C'est marrant, on entend plus "brebis égarée" mais pas "moutons égarés". 
Mais pour le coup, les deux le sont. 
Je leur souhaiterai bien que Dieu leur viennent en aide, mais ils se prennent déjà pour Dieu...

2 mai 2012

Le trouillard aux abois


Trouillard, trouillard… que dirais-tu de prendre un peu pour tous les autres ?
Ce soir encore, je m’ennuie et j’ai trouvé dans cette méthode un peu de plaisir à te décrire.
Aussi, me demanderais-tu d’arrêter de te blâmer. Je te répondrai « autant arrêter de respirer ! ».
Il semblerait que tu corresponds à un profil qui reviendrait assez, voire trop souvent. Les mains moites et la perte de langage, il suffit donc de peu de choses pour te repérer.
Trouverais-tu mon ton irritant… Je te dirai « tant mieux ! C’est un peu le but ». J’ai envie de te dire « ce sera au moins déjà ça de compris ».  
Je ne pense pas perdre autant mon temps. Bien au contraire, à cette heure-ci je n’ai rien d’autres à faire et je crois que ça ne pourra que te rendre service. Tu vois, je ne suis vraiment pas de mauvaise volonté. Prends au moins le temps de te l’avouer, ça ne te brûlera pas deux neurones (enfin je crois). Bon.
Je t’ai appelé trouillard aux abois, mais soyons franc, j’aurai pu t’appeler le « lâche », le « menteur », le « vicieux », le « haineux », le « rageux ». Et dans le contexte décrit, il n’y aurait pas eu de différence. Ah puis, évite de me qualifier de « parano » parce qu’entre nous, n’est parano que celui qui agit à ta façon ou celui qui crie sans raison.
Alors par contre, je te jure que je ne fais parti et n’adhère à aucune association à connotation féministe. 
Si si ! 
C’est dire à quel point toutes les femmes seraient capables de se rejoindre sur cette question.
Ok ok, j’arrête, c’est du lynchage un peu gratu… non en fait, c’est du lynchage légitime. Il faut juste le reconnaître.
C’est du tapotage pas méchant, hein ?

Allez, sans rancune ? 


1 mai 2012

Petit lecteur


Suite à une petite insomnie, j’ai décidé de t’écrire. 
Non pas que tu m’empêches de dormir mais j’ai décidé de me servir de ce temps d’éveil pour ça. 
C'est surement quelque chose qui n’est pas très utile mais qui m’occupe, surement à ta manière quand tu as cliqué sur la case « A chier : je fais mieux » dans le dernier article.
Je ne vais pas faire de long discours, vu la brièveté de ta critique sur celui-ci. Bon.
Tu m’excuseras aussi que ce poste ne soit pas non plus dans la ligne directrice du blog. D’ailleurs as-tu pu un peu saisir cette fameuse ligne directrice… Permets-moi d’en douter.
M’intriguerais-tu ? Vraisemblablement, oui. 
J’espère donc que tu t’en réjouis,  lecteur. Quelle gloire ! Un  poste en ton honneur… que dis-je à ta grandeur d’esprit ! Tellement grand qu’il s’est réduit à ne cocher qu’une case sans laisser d’avis.
J’attends donc avec une très grande impatience, 
ce « je fais mieux » qui me permettrait au moins de savoir si tu as lu mon article comme il aurait fallu.
Enfin, si tu n’envoies rien, ce sera pas très grave non plus, mais ça en dira long.
Allez, disons que ce soir tu m’aurais gaiement servi de défouloir.

A bientôt donc et Bonsoir à toi, petit lecteur ;).

PS : si tu as peur, il y a en bas à droite une adresse e-mail à laquelle tu peux m’envoyer ta petite lettre « d’amour » ;). 
PS 2 : pardon aux autres lecteurs pour ce poste différent.


25 janv. 2012

Rien d'étrange


Ce qui n’a pas de sens, ce qui part dans tous les sens,
Ce qui nous échappe et qu’on frappe dans l’indécence
Ce qu’on fuit et qui nous rattrape aussi,
Ce qu’on n’aime et qu’on n’aime pas parfois,
Ce qui nous gêne et qui nous plait à la fois,
Ce qui nous choque et qui nous bloque,
Ce qui est stupide et qu’on n’assume pas,
Ce qui blesse et qu’on ne dit pas,
Ce qui donne envie et qu’on supplie,
Ce qu’on envie et que l’on vit dans la jalousie,
Ce qui meurt pour redonner vie,
Ce qui part pour mieux revenir,
Ce qui manque et nous étouffe,
Ce qui nous manque et nous donne du souffle,
Ce qui semble opposés mais pourtant unis,
Ce grand silence dans un tas de bruit,
Ce qui nous ennuie et qui en fait parti,
Ce qui ne doit pas nous trahir
Ce qui brille et nous attire,
Puis rester et séduire,
Ce qu’on doit taire pour faire naître le désir

Un semblant d’incohérences, ils disent.

Cette histoire sans convention
Cette histoire sans vraie contradiction
Cette histoire pleine d’affection,
Cette histoire dans la bonne direction

Un peu, beaucoup, sensuellement,
Certainement comme tout, humainement,
Derrière les rideaux, secrètement.
Un baiser, des bras dans l’apaisement,
A la conquête de beaux sentiments,
Tout naturellement.

Juste d’apparence incohérente, mon ange.
Car toi et moi, je crois, que c’est un peu plus que ça…


13 nov. 2011

Leçon de conjugaison



Je ressens
Tu ressens
Elle/Il ressent
Nous ressentons
Vous ressentez
Elles/ils ressentent.

Et oui, vous avez remarqué ? 
ça se conjugue à toutes les personnes, pas qu’au « Je ».

Prenez en note !


15 sept. 2011

En repensant à la musique classique...

DJ Mehdi est décédé il y a deux jours (RIP). Ma collègue écoutait le Boléro de Ravel…

La rigueur et le puritanisme artistiques ne se sont pas construits sur simple besoin de cadre majeur. Ils ont été mis en place pour atteindre les émotions ultimes communiquées par l’art de façon générale plus efficacement. Et puis n’avions-nous pas besoin aussi de base pour que musique ou toute autre forme d'art soit !
Et c’est à la rigueur que la société juge le travail, de tout bord, ce qui a mon sens est une erreur.
La rigueur a ses limites puisque d’un cadre nous définissons les objectifs à atteindre. Une fois atteints, on fait quoi ?...Très bonne question !
Alors que la créativité reste sans limite et laisse toute imagination, innovation et nouveauté dans l’art. C’est infini!
Un travail rigoureux est un travail attendu sans surprise et minimaliste, bien qu’il soit propre et donne une méthode de travail. Il répond aux attentes du public, de la hiérarchie ou de tout autre genre de donneur d’ordre ou de structure élitiste. Il n’inclue pas toujours la notion du sérieux et encore moins celle de création.
Ainsi, devient critiquable ce qui est facilement accessible et qui touchera plus facilement la majorité du public, comme dans une stratégie marketing. On connait les règles et on reprend les quelques bases existantes. Il y a donc moins de travail de fond dans la création, bien qu’il y en ait parfois. L’artiste donne donc l’impression de communiquer à travers l’art, une façon opportuniste de gagner sa vie ou de connaitre la belle vie d’artiste. Ce qui peut être éventuellement gênant pour les puristes.

Est-ce blâmable ? C’est là qu’est toute la question….
Le Bolero de Maurice Ravel

Alors est-ce qu’accepter l’évolution de l’art et sa diversité c’est lui faire perdre de sa valeur ? Sommes-nous suffisamment évoluer pour demander rigueur à un domaine qui n’en a surtout pas besoin pour s’épanouir ?
Ou a-t-on besoin de cadrer l’art et son ensemble dans le processus de création et répondre ainsi aux attentes majoritaires? Après tout, le but n’est-il pas seulement d’apprécier une œuvre sans grande effusion, tout simplement ?
Et quel type de cadre sommes-nous capable d’imposer ?
N’existe-il pas déjà sous diverses formes, des règles à respecter imposées par la société pour diffuser l’art ? Est-ce salutaire à toute forme d’art ?
Enfin de mon côté, à choisir entre un artiste « rigoureux » et un artiste « créatif », mon choix est fait ^^. Le principal risque avec la création est que le boulot peut être totalement foireux ou anarchique. C’est loin d’être négligeable. Mais je suis capable de respecter un artiste juste pour ce défi que d’autres n’ont pas osé relever.
Bref. 
Ça m’amuse un peu de jeter des tomates sur certains artistes. Mais même si c’est le job quotidien d'un artiste de nous faire kiffer, c’est jamais très simple (cf. le black out totale de mon inspiration depuis plus d’un mois…).
Aujourd’hui, chacun y trouve son compte : musique, cinéma, théâtre, peinture, etc. Il suffit juste de chercher.
Je m’en fous un peu en fait, comme beaucoup d’ailleurs, des règles du genre. Et puis d’autres, nous font quand même bien chier, il faut bien le dire…
Au temps de Molière, un acte dans une pièce de théâtre devait se dérouler sur une seule journée pour être valider et être mise en scène. Bon voilà, aujourd’hui c’est obsolète.
Et ce n’est pas plus mal…
Ce sont des règles à la con comme ça, qu’on pose parce que ça fait bon genre de dire ce qu’on aime clairement ou pas, parce que l’élitisme aujourd’hui réunit toujours un peu la majorité des classes sociales françaises, je précise.
Enfin, voilà. C’était ma réflexion du jour.

La question du fond d’un genre musicale ou d’une musique n’a pas été abordée.
Honnêtement, on va venir me parler du fond du rap ou même de la soul, ou même tiens, du Jazz… je répondrai que mon désintérêt en est loin mais que cette thématique est loin du sujet abordée ici. Mais j’associe totalement le sérieux d’un artiste au fond de sa musique et à la cohérence de ses œuvres.
C’est critiquable ? je m’en fous aussi .

 
DJ Mehdi - Tunisia Bambaata

Bonne journée à tous

17 juil. 2011

L’émotion du genre masculin


« Je suis ému…
Emu de la revoir car je repense à moi, à elle, à nos moment brefs mais intenses.
L’arbre du temps bourgeonnait à l’occasion et pour notre seule cause des instants courts mais définis exclusivement « nôtre ». C’était une offrande de la saison qui passe et en même temps un fruit amer que je sentais filer entre mes mains comme son corps.
Si Dieu me permettait d’aimer son physique sans limite, alors j’en serai tombé follement et même passionnément amoureux, sans même penser au bien fonder de notre relation !
Peut-être ce fut le cas.
L’amour avec un grand A décrit dans les livres ? Je ne sais pas et d’ailleurs j’en doute.
Mais ses formes, son visage, ses lèvres, son toucher me hantaient et me hantent encore, des nuits durant comme des fantasmes brumeux mais insolents.
Ses hallucinations dont je ne me lasse toujours pas, font souvent mon bien-être l’espace de quelques minutes.
Imagination, Désir, Pulsion,… tout est mélangé et tout est prêt à être consommé !
J’ai rêvé d’elle à sueur et je réagis encore, comme si ma conscience avait été brûlée au fer forgé par l’empreinte de son « génie » au creux de mes mains et de tout ce qui m’appartient.
Ses mouvements, sa gestuelle et même sa voix sont inscrits dans mes souvenirs les plus ardents. Un regard et elle prend soudain rendez-vous avec ma raison pour me faire perdre tout entendement.
Sans honte mais avec toute ma réserve auprès d’elle, ma tête se baisse pour préserver le mystère de ma faiblesse.
Faible comme tous ces hommes pris par leurs pires envies.
Faible car ma résistance est friable et absurde.

Ni non, ni hésitation,
Ni coup dur, ni mauvaise émotion
Elle est à moi
Quand nous sommes en émoi

Irréelle et cruelle
Mais pleine de beauté et sensuelle
Elle est pour moi
Le LSD qui tua
Ces artistes d’époque
Et qui vendaient leur âme
Jusqu’au troc

Dites lui aussi
Que je l’aime
Pas de l’amour de bohème
Mais de l’amour au lit

Laissez-moi-vous confesser
Mes fictions les plus improbables
Et son pouvoir de générer
Les réactions les plus dommageables

A mon esprit, A mon humeur
De la Jalousie A la bonne humeur
En passant par la folie et la douceur

Mon combat est pour l’exploitation illimitée
De toute sa propriété anatomique.
Qu’elle continue à éveiller en moi ce qu’il y a de plus orgasmique
Je resterai comme un enfant qui s’émerveille devant une seconde divinité.

Je n’ose plus parler de sens. Et encore moins de bon sens.
Toute notion rationnelle ou liée à la raison se retrouve dépassée et obsolète
Quand en faite elle se trouve là
Où je ne l’avais jamais imaginé sur moi.

La frustration se fait plus grande et insupportable.
Et pourtant je me retrouve incapable
De m’abandonner,
De me rendre
Ni même de me laisser guider.

Elle me sait humain
Et Elle sait surtout de quel genre je tiens.

[…]

Bref, j’ai envie de me la faire quoi ! »

13 juil. 2011

Mentir un peu pour être heureux...

Et oui, "la vérité, toute la vérité et rien que la vérité" c'est pas une vie.
La question du "est-ce bien de mentir ou pas?", pour être honnete, je ne me la pose plus vraiment.
De l'égocentrisme ou même de l'égoïsme me pousse aujourd'hui à penser à MOI avant n'importe quoi d'autre. 
Alors si je dois mettre de côté certaines choses que j'estime pas très importantes à signaler pour vivre tranquillement, aujourd'hui je le ferai sans hésiter. Enfin, à condition que ça ne jouera pas sur la suite des évènements.
Est-ce manquer de principe ? je ne sais pas.
Ce qui me rassure au delà de tout, c'est que je ne suis pas seule à faire ça. 
Et j'ai envie de dire...ça dérange personne !

Yo quisiera amarla - Aventura

PS : je suis dingue de ce titre <3, Bachata les enfants, Bachata !!

3 juin 2011

Aparthé...


A tous les mots clés que je lis de la recherche sur "Gogole" des internautes et qui se retrouvent bizarrement sur mon blog, je dis/
For Every Keywords that I read from the search across "Gogole"engine from people who arrive strangely on my blog, I say  : 


LOL!
Je ne citerai pas les mots que j'ai lu, j'en aurai honte. Ce serait cool si vous m'épargniez ça/
I won't tell the words that I read, I would be ashamed. I would be cool if you let me apart of that.........


31 mai 2011

Martine va faire chier son monde...ah non l'auteur est aussi un homme ...


Dernièrement, sur mon compte Twitter, Sens Critique (site de critique d’art pour faire court) a sorti une liste de livres qu’ils ont appelé "On vous a forcé à les lire, vous les avez adorés" (sensé représenter la liste de livres que les gens ont finalement apprécié après lecture) avec à la clé une liste des auteurs les plus cités sur laquelle j’ai voulu revenir.
Je me penche donc sur cette fameuse liste d’auteurs et je vois les classiques : Baudelaire, Musset, Balzac&Co et même un anglais, Shakespeare s’il vous plait !
Et je me rends compte qu’AUCUNE romancière/Écrivain n’est cité.
J’ai ressenti comme de l’aigreur, Voyez-vous, au vu de cette liste.
Je n’avais qu’une envie : boycotter tous ces écrivains alors que tout ça arrivait après avoir reçu mes Baudelaire, du Rimbaud et du Voltaire. J’avais les boules (et je les ai encore), BORDEL de MERDE !!
Bien-sûr que je trouve ça inadmissible mais je pense que le programme de français, et même la littérature de façon générale en France, n’aide pas plus à l’ouverture et reste restreint à peu de femmes. Moi, je veux bien lire des livres où les femmes sont muses ou chimères ou démons. Mais ça reste quand même très réducteur pour la femme. C’était une précision, certes rapide, mais indispensable.
J’ai donc décidé de trouver quelques noms d’auteurs femmes qui me semblaient intéressantes et même passionnantes.
-         George Sand
-         Anna Gavalda
-         Sylvia Fol
-         Marguerite Yourcenar
-         Colette
-    Amélie Nothomb
-    Simone de Beauvoir
-    Françoise Sagan
-    Faiza Guene
-    Marie NDiaye
-    ....
Ah étrange, je m’arrête. Et pourquoi je m’arrête ? Pour justement montrer à quel point la littérature par les femmes rien bien souterraines. Et encore, la liste regroupe contemporains+19ème siècle+21ème siècle.
Quelques sites bien sympas donnent un peu plus de noms d'écrivains (c'est pareil ça aussi, pas de déclinaison dans le féminin comme pour auteur) FÉMININS du 19ème siècle (et non Féministe, j’insiste).
Oui c'est sûr, il y en a pleins d’autres de grands talents du siècle actuel. Seulement en parlant en « terme de références littéraires » vous en voyez d’autres, vous, du même acabit qu’un Victor Hugo ? Et les réflexions du type « oui mais ça fait 150 ans qu’on le lit », je m'en fous complètement.
Honnêtement, appelez ça comme vous le voulez, coup de gueule ou crise féministe, mais merde quoi, va falloir lever tout ça du rang de femme de ménage only à femme cultivée et utile.Vous savez, il arrive que certains sujets ne soient bien exprimés que par les femmes. Au fond, à notre époque, on ne cite même plus le nombre de romancière/écrivain.
Alors si on commençait à les placer dans notre programme littéraire ?
C’était juste une idée, en passant…


PS : pas de ton glamour pour ce soir !

17 mai 2011

Dieudonné - Le Poète Palestinien

Je vous demande de regarder cette vidéo s'il vous plait. C'est très fort et prenant...
Ce mec, quoi qu'on en dise, a du talent. Et c'est en cela qu'on reconnait une personne qui "dérange"...


L'horrible sort de Shokobon : suite et fin...

"L'expérience fut merveilleuse... la coupure avec sa vie occidentale totale... Le retour lui a cependant été fatal...
La dépouille de Schokobon fut rapatriée 7 jours seulement après son évasion.
Espérons qu'un jour, peut-être, ses congénères tenterons à nouveau la traversée européenne en quête de nouvelles aventures
..
Шокобои" C.A.


Comme vous vous en doutez tous, Schokobon a succombé à la tentation du gourmand...
Il est passé de l'autre côté. Qu'il repose en paix au creux de l'estomac égoïste de cette personne !!


C.A. tu n'as vraiment pas de cœur !

16 mai 2011

Dieudonné - Crime Against Humanity

La vérité dans l'humour... Et bien, ça m'a fait rire. Donc je partage.



Ah oui, je précise, ce sont des sketchs, des trucs comiques quoi...vous voyez le truc...

Je suis engagée, je prends parti et j'ai le droit...

...de m'exprimer aussi longtemps que j’en aurais le droit !  

Je ne sais pas pourquoi mais j’ai été poussée, naturellement, à taper « Dieudonné-DSK » dans Google/youtube.... (ah...Ça y est, j'ai jeté un pavé dans la mare. Mon blog va disparaître…)
Je suis sûre que beaucoup vont se dire « Mais c’est du suicide !!! Elle est folle !! Et en plus elle est anti-feuj et blablabla ». Hein, qu’on soit bien d’accord, anti-sionniste ≠ anti-sémite.
Je ne vais pas expliquer la différence. Alors ne jouons pas les incultes. Vous lisez des livres, êtes cultivé, faites honneur à votre genre et ne vous laissez pas dominer par les préjugés ou ce que vous entendez de façon fractionnée.

Je disais donc, que j’étais allée sur Youtube. Et puis après une petite recherche, j’ai trouvé une interview de Dieudonné très intéressante sur une chaine de radio tunisienne. L’interview est en 2 parties. Mais j’aime beaucoup la 2nde.  

Je mets tout de même le lien de la 1ère partie, pour éviter tout propos du style « Mais c’est sorti de son contexte !! C’est trafiqué ! Elle a pris ce qu’elle voulait !! »

Et pour rire un bon coup, voici une vidéo de son dernier spectacle Mahmoud :

Vous pouvez allez faire un tour sur son blog : http://iamdieudo.com/ pour y lire toute sa « plus vive émotion dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire DSk! »

Au passage, je me suis souvenue du tout premier message reçu sur ma boite facebook quand j'ai crée mon compte (et ça date...). A ce moment là, je décide d’adhérer au groupe de Salah Hamouri et je reçois ça :

"SALAH HAMOURI EST UN TUEUR ANTISEMITE KI DOIT ETRE DECHU DE SA NATIONALITE FRANCAISE;PUIS PENDU POUR TENTATIVE DE MEURTRE!"

Ouiiii, tout-à-fait...Un message typique de paix, disons-le! Non, vraiment ça m'a donné envie deee...comment dire... Bref. 

Pour ce qui est de DSK, je vais pas crier la bouche en cœur sur son affaire. Franchement, j'm'en fous parce qu'il reste un pion et puis le scénario est quand même bien américain. Bon. 
Ce serait tout de même comique si toute cette histoire se vérifiait et de voir aussi si le gouvernement décide de le soutenir (allez Roseline, fais marcher la solidarité !) ou si il décide de le larguer comme un gros boulet pour sauver le navire...

Wait&See...

15 mai 2011

Shokobon toujours en Russie...

Non mais CA, il se repose pas Shokobon là... Il est entrain de lutter entre la vie et la mort !


Quel sort cruel lui a-t-on réservé ??!! La suite et fin de cette histoire au prochain épisode...

14 mai 2011

Une journée particulière... encore


C’est beau eeiinh ?
Et bien j’ai pris 1 heure avant d’accéder à cette vue ! 
Autant vous dire qu’il faut être curieux et motivé pour le vouloir. …

Les calanques de Marseille

Au début en entendant le mot « calanque » j’y trouvais absolument rien d’attirant. Déjà, je ne savais pas ce que c’était et puis on ne m’a jamais parlé de ça. Mais la suggestion est venue du responsable de l’auberge, qui m’a bien prévenu de prendre un sandwich, une bouteille d’eau et de prévoir la journée entière là-bas.
Donc quand je prends mon sac à dos pour m’y rendre, je m’attends à maximum 15 minutes de marche… J’ai vite déchanté, surtout que je ne portais pas du tout la tenue adéquate
(Une petite robe blanche). Il faut compter au moins 45 minutes si vous suivez les chemins balisés. Enfin heureusement que j’avais les chaussures de marche, non parce qu’en tongue c’était infaisable. 

Au moment où j’écris ces mots, j’ai encore les courbatures de cette randonnée « musclée ». Pendant la ballade, j’ai repensé au Mont Pelé et à la presqu’ile de la Caravelle en Martinique.
C’est très beau, mais si vous vous y engagez, travaillez avant votre cardio et vos cuisses-fessiers. Ce sera toujours ça de gagner !
Bon, j’y suis allée seule comme à l’habitude et en arrivant pas loin des plages, je rencontre Romain. 30 ans, un sportif marseillais, aventureux, qui me propose de le suivre, ce que j’accepte parce que je ne connaissais pas du tout l’endroit (oui oui je suis folle blablablabla, mais j’ai fait confiance à mon instinct. Et j’ai eu raison).
Donc on continue à marcher car la première calanque, Sugiton, est blindée de monde et de marcheurs arrivés sur place bien avant nous.
Il prend à gauche, je prends la même. Et puis je vois une pancarte avec marquer à la craie « Naturiste »… 

« - WTF ?!! Euuh Romain, c’est une plage naturiste …
- Oooh mais tu t’enfous !
- Bah parle pour toi !»............
Je ralentis le pas, bien-sûr sous le doute en me disant « Mais non, pas ici, pas toi Ten ! ».
Et je commence à me poser des p**** de questions. Et j’explose de rire évidemment sous la petite inquiétude qui me prenait dans les jambes.
Et bien si, il a suffit de peu roches pour commencer à voir les premiers naturistes.
« Faire qu’un avec la nature, la marque du maillot c’est moche »…Putain mais quel truc de pervers !
Je crois que le plus dur, c’est de ne pas regarder. On en discute avec Romain, en se disant que la marque du maillot ça reste quand même bien mignon. Et puis perso, je trouve ça beau un deux pièces. Les nénés à l’air, c’est pas mon trip…

On est posé sur un rocher, entrain de lézarder et c’est paradisiaque (ou l’inverse selon votre point de vue…)
On parle de musique et il fait parti des rares personnes qui écoutent des sons de « haute » qualité, en gardant la valeur d’un artiste et du travail sur sa musique, le respect de son public etc… Vraiment cool ce Romain, un bon vivant.
Toute l’après-midi, des bateaux venant de Cassis visitaient les calanques autour, en ralentissant bien bêtement devant cette fameuse plage naturiste.
D’ailleurs, j’ai des millions de détails en tête que je vais prendre le soin de vous épargner.
Bon, Romain s’en va…et un naturiste, J-P (j’en dirai pas plus sur son prénom. Autrement ce sera sujet aux blagues salasses…), retraité agent d’escale d’une grande compagnie aérienne française, vient me parler. Oui retraité, donc inutile de vous faire un dessin …
Il me racontait sa vie, ses voyages et il fallait que je reste la plus naturelle possible. Et ça, c’était chaud. 

« Fixes les yeux Ten et ne décroche pas ! » 

J-P me raconte que la 1ère fois qu’il descend dans ces calanques, il n’a qu’une envie, s’y baigner. Pas de maillot sur lui, il voit les nudistes et fait de même. Je pense que ce mouvement dans ce coin en tout cas, est né de cette façon, de l’improvisation. Et puis en plus, vous avez la sensation d’être loin de tout car il n’y a personne autour de vous.
L’heure tourne, je crame. Il est temps de partir et de re-escalader ces roches….

Mais la beauté du lieu est vraiment marquante. Je vous encourage vraiment à y faire une randonnée.
Oui, bien-sûr que j’y retournerai, je m’enfous de plage naturiste ou pas. Les calanques sont plus importantes et sympas à regarder, croyez-moi. 
Vous êtes autre part, c'est l'évasion...

Shokobooonn

  
"Après une longue et harassante visite de suivi, notre Schoko-Bon en vadrouille, bien que quelque peu fondu, poursuit son périple russe et se pose 2 jours à Moscou..." C.A.

13 mai 2011

Shokobon toujours en vadrouille



Je le répète : AUCUN MONTAGE PHOTO !!
Bon dis nous tout C.A., où est passé Shokobon à la fin de son voyage ?!



10 mai 2011

Les aventures de Shokobons....

Un ami, C.A., amateur de photos, s'est amusé à m'envoyer l'histoire en photo, le voyage d'un certain bonbon, dont (je suis sûre) beaucoup sont fans.
Je certifie qu'il n'y a aucun montage et que le bonbon était bien en Russie !

Je me fais plaisir...Faites vous aussi plaisir !